Embarrassé par “l’affaire”, Luc Chatel, porte-parole du gouvernement, a déclaré qu’il s’agissait d’un “malheureux excès de zèle” tout en affirmant bien entendu qu’ “il appartient au juge de se prononcer sur la validité de cette poursuite”. (On lui souhaite bon courage.)
La secrétaire d’Etat a insisté sur le fait que ni "celui dont on ne doit pas prononcer le nom“ ni le ministre de la Justice n’étaient informés de cette procédure puisqu’elle a été initiée par le tribunal de police compétent en la matière”.
À Lire sur LeMonde.fr : Crier “Sarkozy je te vois !” en pleine gare vaut amende pour le ministère public